Wer datete ألفريد دي موسيه?
Louise Colet war mit ألفريد دي موسيه von ? bis ?. zusammen. Der Altersunterschied betrug 0 Jahre, 2 Monate und 26 Tage.
Caroline Jaubert war mit ألفريد دي موسيه von ? bis ?. zusammen. Der Altersunterschied betrug 7 Jahre, 6 Monate und 5 Tage.
Aimée d'Alton war mit ألفريد دي موسيه von ? bis ?. zusammen. Der Altersunterschied betrug 0 Jahre, 9 Monate und 9 Tage.
Louise Rosalie Allan-Despréaux war mit ألفريد دي موسيه von ? bis ?. zusammen. Der Altersunterschied betrug 0 Jahre, 9 Monate und 21 Tage.
Rachel war mit ألفريد دي موسيه von ? bis ?. zusammen. Der Altersunterschied betrug 10 Jahre, 2 Monate und 17 Tage.
Anaïs Bosio war mit ألفريد دي موسيه von ? bis ?. zusammen. Der Altersunterschied betrug 2 Jahre, 3 Monate und 16 Tage.
George Sand war mit ألفريد دي موسيه von bis . zusammen. Der Altersunterschied betrug 6 Jahre, 5 Monate und 10 Tage.
ألفريد دي موسيه
لوي شارل ألفرد دي موسيه -باتاي (بالفرنسية: Louis Charles Alfred de Musset-Pathay) (وُلد في 11 ديسمبر 1810 وتوفي في 2 مايو 1857) شاعر فرنسي ومسرحي وروائي. يُعرف بشعره كما يُعرف بكتابه: اعترافات طفل من القرن (La Confession d'un enfant du siècle)، وهو سيرة ذاتية له.
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Louise Rosalie Allan-Despréaux
Louise Rosalie Allan-Despreaux (1810 – March 1856) was a French actress.
She was "discovered " by François Joseph Talma at Brussels in 1820, when she played Joas with him in Athalie. At his suggestion she changed her surname, Ross, for her mother's maiden name, and, as Mlle. Despreaux, was engaged for children's parts at the Comédie-Française. At the same time she studied at the Conservatoire. By 1825 she had taken the second prize for comedy, and was engaged to play ingenue parts at the Comédie-Française, where her first appearance in this capacity was as Jenny in L'Argent on 8 December 1826.
In 1831 the director of the Gymnase succeeded in persuading her to join his company. Her six years at this theatre, during which she married Allan, an actor in the company, were a succession of triumphs. She was then engaged at the French theatre at St. Petersburg, a scene praised by the Russian aristocracy and the Imperial family.
Returning to Paris, she brought with her, as Legouve says, a thing she had unearthed, a little comedy never acted until she took it up, a production half-forgotten, and esteemed by those who knew it as a pleasing piece of work in the Marivaux style: Un Caprice by Alfred de Musset, which she had played with success in French in St. Petersburg. Her selection of this piece for her reappearance at the Comédie-Française (1847) laid the cornerstone of Musset's lasting fame as a dramatist. In the following year his comedy Il ne faut jurer de rien was acted at the same theatre, and thus led to the production of his finer plays.
Among plays by other authors in which Mlle Allan-Despreaux won special laurels at the Comédie-Française, were Par droit de conquête, Péril en la demeure, La joie fait peur, and Lady Tartuffe. In the last, with a part of only fifty lines, and playing by the very side of the great Rachel, she yet held her own as an actress of the first rank.
Mlle Allan-Despreaux died in Paris, in the height of her popularity, in March 1856.
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Rachel
Elizabeth-Rachel Félix (Mumpf, 18 februari 1821 - Le Cannet, 4 januari 1858), beter bekend als Mademoiselle Rachel, was een Joods-Frans actrice, de bekendste van haar tijdperk.
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Anaïs Bosio
Angélique Félicité Anaïs Bosio, par son mariage marquise de La Carte, est une salonnière française née le à Paris et morte le à Pau.
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George Sand
George Sand [ʒɔʁʒ sɑ̃d], nom de plume d'Aurore Dupin, par son mariage baronne Dudevant, est une romancière, dramaturge, épistolière, critique littéraire, journaliste et peintre française, née le à Paris et morte le au château de Nohant-Vic. Elle compte parmi les écrivains les plus prolifiques, avec plus de 70 romans à son actif et 50 volumes d'œuvres diverses dont des nouvelles, des contes, des pièces de théâtre et des textes politiques.
À l'image de son arrière-grand-mère, Louise Dupin, qu'elle admire, George Sand prend la défense des femmes, prône la passion, fustige le mariage et lutte contre les préjugés d'une société conservatrice.
George Sand a fait scandale par sa vie amoureuse agitée, par sa tenue vestimentaire masculine, dont elle a lancé la mode, par son pseudonyme masculin, qu'elle adopte dès , et dont elle lance aussi la mode : après elle, Marie d'Agoult signe ses écrits « Daniel Stern », Delphine de Girardin prend, en 1843, le nom de plume de « vicomte Charles de Launay ».
Malgré la misogynie de nombreux détracteurs comme Charles Baudelaire ou Jules Barbey d'Aurevilly, George Sand contribue activement à la vie intellectuelle de son époque, accueillant au domaine de Nohant ou à Palaiseau des personnalités aussi différentes que Franz Liszt, Frédéric Chopin, Marie d'Agoult, Honoré de Balzac, Gustave Flaubert, Eugène Delacroix, Henri Chapu, conseillant les uns, encourageant les autres. Elle a entretenu une importante correspondance avec Victor Hugo bien que ces deux grandes personnalités ne se soient jamais rencontrées.
Elle s'est aussi illustrée par un engagement politique actif à partir de , inspirant Alexandre Ledru-Rollin, participant au lancement de trois journaux : La Cause du peuple, Le Bulletin de la République, L'Éclaireur, plaidant auprès de Napoléon III la cause de condamnés, notamment celle de Victor Hugo dont elle admirait l'œuvre et dont elle a tenté d'obtenir la grâce après avoir éclipsé Notre-Dame de Paris avec Indiana, son premier roman.
Son œuvre est abondante et la campagne du Berry lui sert souvent de cadre. Ses premiers romans, comme Indiana (1832), bousculent les conventions sociales et magnifient la révolte des femmes en exposant les sentiments de ses contemporaines, chose exceptionnelle à l'époque et qui divisa aussi bien l'opinion publique que l'élite littéraire. Puis George Sand ouvre ses romans à la question sociale en défendant les ouvriers et les pauvres (Le Compagnon du Tour de France) et en imaginant une société sans classes et sans conflit (Mauprat, 1837 ; Le Meunier d'Angibault, 1845).
Elle se tourne ensuite vers le milieu paysan et écrit des romans champêtres idéalisés comme La Mare au diable (1846), François le Champi (1848), La Petite Fadette (1849), Les Maîtres sonneurs (1853).
George Sand a abordé d'autres genres comme l'autobiographie (Histoire de ma vie, 1855) et le roman historique avec Consuelo (1843) où elle brosse, à travers la figure d'une cantatrice italienne, le paysage artistique européen du XVIIIe siècle, ou encore Les Beaux Messieurs de Bois-Doré (1858) qui multiplie les péripéties amoureuses et aventureuses dans le contexte des oppositions religieuses sous le règne de Louis XIII. Vers la fin de sa vie, elle écrit une abondante œuvre théâtrale, restée largement inédite de son vivant.
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